LA CLASSE DE MADAME LISE

89 min, documentaire, Québec, Canada, 2005
RéalisationSylvie Groulx
ProductionGalafilm
Languefrançais
Sujets de film Identité , Jeunesse , Portraits , Société
Regis du cinemas, general

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Critiques de presse

La Classe de madame Lise prouve à merveille l’extraordinaire capacité d’adaptation des enfants. Voir En même temps qu’un bel exemple d’intégration, La Classe de madame Lise trace le portrait d’une enseignante modèle. La Presse

Détails du film

Synopsis

Ils s’appellent Rafik, Solace, Rahat, Jessica et Adonay. Ils ont six ans. Ils habitent Parc Extension, un quartier multiethnique au cœur de Montréal. Ce sont les élèves de Madame Lise. Pendant toute une année scolaire, la réalisatrice Sylvie Groulx observe leurs apprentissages, les regarde vivre. Ainsi, elle témoigne du travail patient d’une enseignante composant simplement avec les nouvelles réalités urbaines : enfants d’origines ethniques diverses, différences culturelles majeures, apprentissage du français dans un milieu familial ignorant tout de cette langue. La classe de madame Lise, c’est aussi la bonne volonté d’un groupe d’enfants disparates, les complicités qui se tissent dans la différence, les sourires entendus, les bouderies et les moqueries dénuées de méchanceté. La classe de madame Lise, c’est enfin le portrait de Lise Coupal, institutrice chaleureuse et attentive, tolérante mais ferme, heureuse de découvrir chez un garçon timide un potentiel qu’elle ne soupçonnait pas.

 

Équipe

Réalisation : Sylvie Groulx
Montage : France Pilon
Image : Michel La Veaux
Son : Sylvain Vary, Olivier Calvert
Musique originale : Robert M. Lepage
Producteur : Francine Allaire (Galafilm)

Producteurs exécutifs : Arnie Gelbart, Francine Allaire

Productrice déléguée : Natalie Dubois

 

Partenaires financiers

SODEC

Fonds Canadien de Télévision

Crédit d’impôt du Canada

Radio Canada

Télé Québec

Réalisation

Sylvie Groulx

Née à Montréal, Sylvie Groulx obtient en 1977 un baccalauréat en communication de l’Université Concordia. Rapidement, son parcours va témoigner de son intérêt pour un cinéma à la fois personnel et engagé. Après la réalisation en 1978 d’un premier documentaire remarqué, « Le Grand remue-ménage », elle œuvre à Cinéma Libre, société de distribution de films indépendants. Co-fondatrice des Rendez-vous du cinéma québécois en 1982, elle cumulera également les engagements pour la cause du cinéma: enseignante au collégiale, membre du conseil d’administration de l’Association des réalisateurs et réalisatrices du Québec, auteure d’articles… Son œuvre, entre fiction et documentaire, questionne la perte de repères et l’engagement.