COLLECTION SPIRA


RéalisationNicole Giguère & Nicolas-Alexandre Tremblay & Régis Coussot & Christian Mathieu Fournier & Matthieu Brouillard & Marie Brodeur
Production
Languesfrançais, anglais, inuktitut, créole, espagnol
Description courte

Une collaboration entre Les Films du 3 Mars et Spira. Cinq documentaires sont désormais offerts sur notre plateforme de diffusion numérique, individuellement ou en collection, à la location ou par abonnement!

Regis du cinemas, general

Détails du film

Une collaboration entre Les Films du 3 Mars et Spira. Cinq documentaires sont désormais offerts sur notre plateforme de diffusion numérique, individuellement ou en collection, à la location ou par abonnement!

 

 

Alice au pays des gros nez

Réalisation: Nicole Giguère

Année: 2003

Durée: 52 minutes

 

 

Citoyens de nulle part

Réalisation: Nicolas-Alexandre Tremblay et Régis Coussot

Année: 2015

Durée: 52 minutes

 

 

Nallua

Réalisation: Christian Mathieu Fournier

Année: 2015

Durée: 76 minutes

 

 

Qu’importe la gravité

Réalisation: Matthieu Brouillard

Année: 2017

Durée: 79 minutes

 

 

 

Ce film fait partie de la Collection SPIRA. SPIRA est une coopérative issue de la fusion, en 2015, de Spirafilm et Vidéo Femmes, qui soutient et stimule la création et la production en cinéma indépendant, et qui distribue des œuvres pour en assurer le rayonnement au Canada et à l’étranger. Pour en savoir plus sur SPIRA et son catalogue, rendez-vous au https://www.spira.quebec/

Réalisation

Nicole Giguère

Depuis 1975, Nicole Giguère exerce les métiers de réalisatrice, scénariste et monteuse.  Elle réalise notamment des documentaires d’auteur, des docu-fictions, des séries télévisées, en passant par le clip et le film musical.  Ses intérêts principaux concernent les phénomènes sociaux, ainsi que le domaine culturel et musical.  Sa réalisation Aller simple pour Sirius lui a valu le Prix Gémeaux du meilleur documentaire d’auteur en 1997.

Nicolas-Alexandre Tremblay

Diplômé à la maîtrise Relations internationales de l’Université Laval (Québec) et en réalisation documentaire à L'inis, Nicolas-Alexandre fait d’abord ses premières armes cinématographiques comme technicien, puis comme réalisateur indépendant. Résolument engagé, il s’intéresse aux enjeux liés au développement international et aux droits humains.

Régis Coussot

Natif de la France, Régis Coussot y complète des études universitaires en communication et en journalisme. Globe-trotter, il parcourt près de 55 pays avant de s'établir au Canada en 2005. Très vite, il publie articles et photographies pour différents journaux de Toronto, Vancouver et Montréal avant de réaliser ses premiers documentaires, notamment pour les Productions L'itinéraire. En 2012, il complète le programme Documentaire de L'inis afin d'y parfaire son métier de réalisateur. À travers ses réalisations, Régis Coussot cherche à dévoiler des sujets sur lesquels nous avons l’habitude de fermer les yeux.

Christian Mathieu Fournier

Après des études en cinéma à l’Université Laval, son expérience cinématographique en documentaire débute en 2002 avec le film Mourir au large qui témoigne des préoccupations des pêcheurs gaspésiens de poissons de fond et de Maudite machine ! un portrait humain sur l’univers des joueurs compulsifs à la loterie vidéo-poker. En 2004, son film Make money, salut bonsoir! portant sur les travailleurs victimes de la bérylliose à la mine Noranda de Murdochville lui vaut le prix du Public et le prix Enviro au Festival de films de Portneuf sur l’environnement. Il enchaîne ensuite avec Léandre Bergeron, avec conviction sans espoir (2008), une rencontre avec le non- conformiste d’un homme, inébranlable dans sa volonté de liberté et sa lutte pour la défense de sa vision sociale, politique et familiale.   Son plus récent documentaire, L’ange des Grondines (2012) a reçu le prix du Public au Festival de films de Portneuf sur l’environnement 2013. Ce film présente avec sensibilité l’enfance éternelle de Joseph Étienne, qui à 73 ans, vit le moment présent et la découverte de territoires imaginaires. Son prochain documentaire Nallua (2015) s’intéresse à la communauté de Pond Inlet au Nunavut.   Depuis 1999, Christian oeuvre à titre de chargé de projets. Il a réalisé et coordonné plus de 200 mandats. De manière générale, il agit comme producteur et réalisateur de documentaires. Son expertise s’est développée grâce à sa passion pour son métier. Il est minutieux, rigoureux, professionnel et polyvalent. Il est également directeur photo. Sa caméra est unique, très humaine, près des personnages tout en étant à la fois esthétique et poétique.

Matthieu Brouillard

Matthieu Brouillard est un artiste visuel né à Montréal en 1976. Après avoir pratiqué le dessin et la peinture pendant quelques années, il se tourne vers la photographie en 2003 avec l’impression que ce médium serait plus à même de traduire les images qu’il a en tête. Depuis, il a créé des corpus photographiques et des installations vidéographiques qui combinent le documentaire et la mise en scène et qui réinvestissent certains thèmes et traits stylistiques issus de la mythologie (Icare) et de la tradition picturale (Grünewald et Goya, baroque et maniérisme). Son travail plastique témoigne d’un intérêt marqué pour la figure humaine, et plus précisément pour le corps masculin, qu’il dépeint le plus souvent en situation de contrainte ou de déviation par rapport à certaines normes sociales et/ou esthétiques.   Son travail est paru dans de nombreuses publications (Ciel Variable, SHOTS Magazine, Samuel Beckett Aujourd’hui, Les écrits…) et a été exposé dans de nombreuses galeries et institutions vouées aux arts (VU, Dazibao, Oboro, Le Fresnoy, Kunsthalle Bern, PhotoforumPasquArt, Musée de l’Élysée…). Matthieu (PhD, 2013) a été chargé de cours et chercheur invité dans diverses universités et écoles d’art, parmi lesquelles l’Université de Zürich, l’Université des Arts et du Design de Karlsruhe, la Haute Ecole d’Art et de Design de Genève et l’Université de Bern. Il a publié trois livres de photographies – "Narragonie" (J’ai VU, 2007), "Darkness Implacable" (Sagamie, 2012) et "Coming Through the Fog" (avec Donigan Cumming ; FOFA Gallery, 2013) –, dont les séries d’images finement orchestrées laissent présager son passage au cinéma. Tourné sur une période de deux ans, "Qu’importe la gravité" est son premier film.

Marie Brodeur

Marie Brodeur a eu une formation en arts visuels, en danse, en théâtre et en vidéo d’art. Diplômée « très grande distinction » en arts visuels au Collège Jean de Brébeuf à Montréal, elle étudie par la suite avec de nombreux artistes visuels et de la scène tels que Irene Whittome, Gilles Maheu, Linda Rabbin, Martine Époque, Jean Asselin, Merce Cunningham et Jean-Pierre Perrault. Après une carrière de 10 ans en ballet moderne au Canada, aux États Unis et en Europe, Marie entame, en 1986, sa carrière de réalisatrice, se spécialisant particulièrement en documentaire sur la danse et sur l’art. À deux reprises ses films sont primés par l’UNESCO pour leur « contribution exceptionnelle à la conservation du patrimoine
culturel mondial » . En mars 2016, elle reçoit le Prix de la Meilleure oeuvre canadienne au Festival International du Film sur l’ Art (FIFA) pour Un Homme de Danse, long métrage documentaire sur la vie de Vincent Warren, aussi présenté en clôture du festival. Plusieurs de ses oeuvres font partie des collections permanentes d’institutions tels que le Lincoln Centre Performing Arts Library à New York, la Cinémathèque de Paris et le Musée d’Art contemporain de Montréal. Ses films ont été diffusés au Canada et en Europe principalement. Outre ses réalisations, elle siège aussi sur des comités consultatifs pour l’ONF, le Conseil des Arts du Canada, le Conseil des arts et des lettres du Québec, les Pépinières européennes pour jeunes artistes, ainsi que sur des conseils d’administration tels que PRIM et les Rendez vous du Cinéma québécois. Membre ARRQ, SACD, SARTEC, et WGA, Marie fonde LA COMPAGNIE DE LA MARIE en 1990 où elle oeuvre comme réalisatrice, scénariste et productrice.