SPIRA

COLLECTION SPIRA 2


RéalisationJean-Marc E.Roy & Jean-Laurence et Jonathan Seaborn (les frères Seaborn) & Sophie Fortier & David B. Ricard & Nicole Giguère & Martin Rodolphe Villeneuve & Andres Livov & Gabrielle Demers
Production
Langue
Description courteUne collaboration entre Les Films du 3 Mars et Spira. Huit films sont désormais offerts sur notre plateforme de diffusion numérique, individuellement ou en collection, à la location ou par abonnement !
Regis du cinemas, general

Détails du film

SPIRA s’associe aux Films du 3 Mars pour vous partager une partie de son catalogue !

 

La COLLECTION SPIRA 2 comprend 8 films, moyens ou longs métrages, disponibles pour nos abonnés ainsi qu’en location, où il sera possible de louer les films individuellement ou en bouquet.

 

Des histoires inventées

Réalisation : Jean-Marc E.Roy

Année : 2018

Durée : 71 min

 

Bras de fer

Réalisation : Jean-Laurence et Jonathan Seaborn

Année : 2017

Durée : 77 min

 

Exil au Far West

Réalisation : Sophie Fortier

Année : 2017

Durée : 59 min

 

Vocalités vivantes

Réalisation : David B. Ricard

Année : 2018

Durée : 80 min

 

On me prend pour une Chinoise !

Réalisation : Nicole Giguère

Année : 2011

Durée : 52 min

 

Éléonore

Réalisation : Martin Rodolphe Villeneuve

Année : 2018

Durée : 31 min

 

Lettres au Premier Ministre

Réalisation : Andres Livov

Année : 2016

Durée : 20 min 50

 

Paupière mauve

Réalisation : Gabrielle Demers

Année : 2017

Durée : 10 min

 

SPIRA est une coopérative issue de la fusion, en 2015, de Spirafilm et Vidéo Femmes, qui soutient et stimule la création et la production en cinéma indépendant, et qui distribue des œuvres pour en assurer le rayonnement au Canada et à l’étranger. Pour en savoir plus sur SPIRA et son catalogue, rendez-vous au https://www.spira.quebec/

Réalisation

Jean-Marc E.Roy

Récipiendaire du Prix Créateur de l'année du CALQ et du Prix Contribution Culture Saguenay-Lac- Saint-Jean à l'automne 2015, le travail de Jean-Marc E.Roy oscille entre documentaire et fiction. Depuis 1999, plusieurs de ses films ont été diffusés et récompensés ici comme ailleurs. Ila récemment réalisé Bleu Tonnerre et Crème de menthe (respectivement à la 47e et 49e Quinzaine des Réalisateurs – Cannes). Il est à terminer son premier long métrage documentaire sur et avec le cinéaste André Forcier (Des Histoires inventées – 2018) et est à développer une longue fiction nommée Bijou.

Jean-Laurence et Jonathan Seaborn (les frères Seaborn)

Les frères Seaborn ont fait leurs débuts dans le film documentaire à caractère social dans les années 2000. Utilisant le cinéma direct, ils créent des liens puissants avec leurs protagonistes ce qui donne naissance à des images et témoignages sans barrières. C’est par le biais du cinéma qu’ils participent à des causes sociales. Ils mettent en lumière des personnages hors du commun qui marquent le paysage Québécois. Ils ont porté à l’écran la réalité des toxicomanes par injection dans le film Pas de piquerie dans mon quartier diffusé à Télé-Québec en janvier 2012. Ils ont aussi développé une solide expertise en postproduction documentaire, signant plus d’une quarantaine de documentaires unique et une dizaine de séries documentaires pour la télévision. De 2013 à 2016, ils ont suivi la démarche citoyenne de Véronique Lalande contre les émissions de poussières de métaux lourds provenant du Port de Québec. Avec l’appuy récent de la SODEC, le film Bras de fer sera porté au grand écran, poursuivant ainsi la suite logique du travail des deux frères, un cinéma engagé, chargé d’émotion et de véracité.

Sophie Fortier

Sophie Fortier est née dans un village agricole pas plus grand qu’un mouchoir de poche. Son enfance a été bercée par la chasse aux marmottes, les randonnées en BMX et la gomme Bazooka. Petite, elle rêvait d’écrire et de parcourir le monde, fascinée par tous ces humains vivant en parallèle. Aujourd’hui, elle est réalisatrice et scénariste pour la télévision et le cinéma. Son dernier film documentaire s'intitule Exil au Far West. Elle aime dire qu'elle tricote tous ses projets à la main avec la minutie d’un horloger.

David B. Ricard

David B. Ricard (Bic, 1984) grandit à Charlesbourg et survit à l’adolescence par le biais du cinéma. Après ses études qui le mènent à Montréal (cinéma, philosophie, photographie), il réalise une poignée de courts-métrages indépendants de fiction (Le cul des autres, Mauvaise). Il y traite surtout de l’intimité et se questionne sur le médium et la représentation de soi. Il comble des postes de techniciens vacants sur des tournages et apprend ainsi les rouages techniques du médium. En 2013, il est engagé sur des projets documentaires Web (Webgéol, Apocalypse 10 Destins) qui le rapproche des considérations documentaires et du travail d’archive.   De retour à Québec, il travaille d’un côté sur son premier essai documentaire (Surfer sur la grâce) par lequel il découvre sa démarche de création privilégiée. Il y définit le rôle de son cinéma : permettre l’apprentissage de soi par le visionnement de l’enregistrement du passé. Il y instaure aussi une technique de dialogue qui remplace celle de l'entrevue traditionnelle en se posant à la caméra avec ses sujets. De l’autre côté, il se met à collaborer au théâtre avec la compagnie Les Songes turbulents et le metteur en scène Florent Siaud (Quartett, 4.48 Psychose, Les enivrés). Il y trouve une source d’exploration du médium, ce qui le pousse à développer le goût de la vidéo pour la scène, comme le V-Jing, et la performance. Il participe à La Fabrique des impossibles avec Millimetrik au Cercle et crée le spectacle Le Kodak de mon arrière-grand-père, projets qui mêlent la performance musicale aux projections 8mm et vidéo (mise en scène de Valery Drapeau). Son deuxième essai documentaire Vocalités vivantes traite d’un poème traduit par les différentes communautés francophones du Canada. Il est en préparation pour un troisième long métrage (David contre Goliath) qui traite de l’échec et de la peur.

Nicole Giguère

Depuis 1975, Nicole Giguère exerce les métiers de réalisatrice, scénariste et monteuse.  Elle réalise notamment des documentaires d’auteur, des docu-fictions, des séries télévisées, en passant par le clip et le film musical.  Ses intérêts principaux concernent les phénomènes sociaux, ainsi que le domaine culturel et musical.  Sa réalisation Aller simple pour Sirius lui a valu le Prix Gémeaux du meilleur documentaire d’auteur en 1997.

Martin Rodolphe Villeneuve

Né à Rivière-du-Moulin, au Saguenay, Martin Rodolphe a fait des études en peinture au sein de plusieurs ateliers à Chicoutimi, étudiant en alternance le fusain et l’acrylique. Il délaisse peu à peu la peinture et s’inscrit en 1996 au programme interdisciplinaire en art à l’Université du Québec à Chicoutimi (UQAC) - concentration cinéma et vidéo. Au cours de sa carrière, il a suivi plusieurs formations à l’Office national du film (ONF) et a également participé à des ateliers d’écriture dans le cadre du programme de Téléfilm Canada « Écrire au long » à l’Institut national de l’Image et du son (INIS). Scénariste et documentariste de formation, il réalise plusieurs genres, dont des études et des essais cinématographiques, avant de trouver son véritable créneau : le drame onirique. En 2009, il entreprend un périlleux tournage sur le phare du Haut-fond Prince situé au confluent de l’estuaire du Saint-Laurent et de l’entrée du fjord du Saguenay. Sélectionné par plusieurs festivals, ce film intitulé Haut-fond Prince (2011) lui mérite la Bourse de création au festival Regard international sur le court métrage au Saguenay en 2012. En 2015, dans la même veine, il réalise un film intitulé Notre-Dame-des-Monts, un court métrage de 24 minutes avec la collaboration de la Chaire de recherche du Canada, pour une dramaturgie sonore au théâtre de l’Université du Québec à Chicoutimi et du Conseil des arts du Canada.   Filmographie   Qu'en ce jour je meure (2017 / 17 min) Éléonore (2017 / 30 min) Notre-Dame-des-Monts (2015 / 24 min) Haut-fond Prince (2011 / 45 min) L'Asepsie (2008 / 25 min) Révérence (2007 / 8 min) Dans une heure (2005 / 8 min) Le Vélocipède à patins (2003 / 4 min) Ce qu'il reste ( 2001 / 15 min)  

Andres Livov

Andres Livov est né à Buenos Aires, en Argentine. Il a étudié la mise en scène d'opéra au prestigieux Théâtre Colon (Buenos Aires) et il est diplômé en beaux-arts de l'université York à Toronto. En 2005, il a assisté au Berlinale Talent Campus du 55e Festival international de films de Berlin. « Bienvenue à Los Pereyra » son premier documentaire, a été présenté entre autres à Amsterdam, Montréal, Buenos Aires, Calgary, Kiev, La Havane et Santiago. Son court-métrage « Lettres au premier ministre » est Lauréat 2015 de la résidence Regard sur Montréal, offert par la Société de développement des entreprises culturelles (SODEC), l'Office national du film du Canada (ONF) par son programme ACIC, le Conseil des arts de Montréal (CAM) et Les Films de l'Autre.

Gabrielle Demers

Gabrielle Demers est une réalisatrice originaire de Lévis. Elle détient une formation bidisciplinaire en cinéma et en arts médiatiques. Paupière Mauve est son deuxième court-métrage.